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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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jeudi 31 janvier 2013

Through the Breakers - Joseph C. Boyle - 1928


Margaret Livingston ...
Diane Garrett
Holmes Herbert ...
John
Clyde Cook ...
Eustace
Natalie Joyce ...
Taya
Frank Hagney ...
Gamboa

55 minutes
D'après une pièce de Owen Davis
Titre français : La sirène du Pacifique

John (Herbert) accepte un poste dans les îles Samoa. Le soir de son départ il propose à Diane (Livingston) de l'épouser et de le suivre. Diane empruntée lui répond qu'il lui faudrait des semaines pour faire ses bagages et John se retrouve seul sur une île avec Eustace (Cook) son contremaître chargé de veiller à la bonne marche du travail par les indigènes.
Une autochtone, Taya (Joyce) ne comprend pas la tristesse de John qu'elle vénère et aime profondément. Son fiancé Gamboa (Hagney) la surveille de loin tout en étant prêt à dégainer son couteau au moindre geste déplacé de John mais celui-ci est perdu dans ses tristes pensées après avoir relu pour la ixième fois la lettre de rupture de Diane qui lui annonce que "seule sa malle lui parviendra car elle a changé d'avis et ne montera pas à bord du bateau qui devait l'amener par crainte de s'ennuyer des hommes et des lumières de la ville".
Chaque voile aperçue sur l'horizon ravive la nostalgie de John mais un beau jour un yacht qui croise non loin prend feu et une jeune femme est retrouvée sur la plage. Il s'agit de Diane qui revient d'un rendez-vous galant et qui incarne le mauvais esprit de la mer selon Taya.  Diane qui mène une vie de débauche depuis le départ de John va dès lors tout faire pour récupérer John en évinçant sa rivale Taya ...



Une histoire de femme débauchée que rien n'arrête. Sur le yacht qui la ramène sur le continent, Diane propose sa jarretière aux enchères, puis carrément sa robe qu'elle enlève devant les yeux concupiscent des hommes passablement éméchés réunis au salon sous le regard scandalisé du peu d'autres femmes présentes à bord.
Incarnée par Natalie Joyce, Taya se montre sincère et sage et son personnage prend une dimension particulière.  Comme le demande si bien Taya pourquoi diable peut-on avoir la peau brune lorsqu'on a le coeur si pur (blanc) ? et pourquoi John ne voit-il pas clair en elle ? De même tente-t-elle de ramener John dans le présent en lui disant que seuls les imbéciles attendent le passé ...
Face à elle Margaret Livingston brille de mille feux de façon voyante et aguichante. Ses tenues sont très déshabillées et ses poses suggestives.
Face aux deux femmes qui rivalisent d'intérêt se trouve John alias Holmes Herbert. Acteur en général très expressif, il manque quelques gros plans pour faire passer une certaine profondeur. Du coup il parait un peu raide et ennuyeux (d'autant plus avec la moustache !) alors qu'il sait se montrer vibrant et vivant comme il le démontre dans d'autres films. Il a néanmoins l'occasion de se lâcher lorsqu'après s'être jetée à l'eau Diane semble inconsciente et qu'il l'embrasse passionnément.
Il reste deux acteurs à mentionner. Le premier est un Frank Hagney porteur d'une perruque souriant et participant aux danses locales. Il se montre dans un rôle sympathique complétement différents de ceux dans lesquels on le voit habituellement. Le deuxième est Clyde Cook, un habitué des rôles de sidekicks à caractères humoristiques. Ici il est un homme qui est ravi de se retrouver au milieu de toutes ces femmes qu'il poursuit volontiers. Il lui arrive même de danser en gesticulant passablement.

D'un point de vue conception on peut regretter une fin abrupte qui ne permet pas de rendre le scénario plausible. En effet après des années de débauches, Diane est touchée par la grâce ce qui ne colle pas à son personnage. Le déclic se produira lors du suicide de Taya qui en mourant aura encore le temps de dire qu'elle souhaite que tout le monde soit heureux ...



mercredi 2 mai 2012

White Gold - William K. Howard - 1927




Jetta Goudal ...
Dolores Carson

Kenneth Thomson ...
Alec Carson

George Bancroft ...
Sam Randall

George Nichols ...
Carson, Alec's Father

Bob Perry ...
Bucky O'Neill (as Robert Perry)

Clyde Cook ...
Homer

73 minutes

Une jeune mariée, Dolores (Goudal) suit son mari Alex (Thomson) vivre dans un ranch d'une région désertique (Arizona ?). Son beau-père la prend en grippe et exprime de toutes les manières possibles sa désapprobation afin de monter son fils contre elle. La jeune femme se sent de plus en plus isolée, son mari et son père ne parlant que de moutons en attendant la pluie, jusqu'au jour où Sam Randall (Bancroft) fait son apparition et décide de rester travailler au ranch lorsqu'il l'aperçoit. Le mari se montre jaloux mais le lent sabordage de sa vie de couple commence à faire effet : une nuit il quitte la chambre conjugale et Sam Randall en profite pour forcer la porte de Dolores, une nuit où justement un orage éclate ...



Étonnamment sombre ce film qui montre la cruauté du beau-père envers la jeune mariée. Petit à petit on comprend que Dolores était une chanteuse. Sa vie était heureuse et elle a épousé Alec Carson par amour. Le père possessif refuse de partager son fils car il l'a élevé comme son père et sa mère dit-il. Le fils ne comprend pas les manigances de son père et le respect l'empêche de s'opposer à lui. Petit à petit nous suivons le naufrage du mariage : au début Alec se montre prévenant avec sa femme, puis le temps passant il tient pour acquis sa présence au grand plaisir du père qui sent qu'il grignote du terrain menant à la discorde. Lorsque le nouvel employé arrive, le père seme la zizanie en faisant croire que Dolores trompe son fils. Celle-ci trop fière ne peut croire que son mari la soupçonne de quoi que ce soit.
Le père a des mots terribles. Lorsqu'Alec lui dit que sa femme lui est loyale, le père lui répond que personne ne s'intéresse à elle et que dans ces conditions c'est bien normal. 
C'est davantage un film psychologique qu'un drame. Tout le déroulement de l'action se passe dans la chaleur, la poussière et le vent, quelques scènes rappellent même The Wind. Un huis clos qui se passe entre l'intérieur du ranch et l'intérieur du dortoir.
Ce qui fait monter la tension c'est la vision du fauteuil à bascule monté sur une armature à ressorts dans lequel le père se balance constamment. On sent la nervosité ambiante grâce à la vision de ce fauteuil et on comprend que les nerfs de la jeune femme sont mis à rude épreuve. Une scène qui vous porte sur les nerfs : le fauteuil à bascule déjà cité en même temps que la vision du fils qui affute un couteau. Pas besoin d'explication, on comprend immédiatement que ces actions deviennent insupportables. Sans compter que les deux hommes ne parlent que de moutons, à tel point que tout l'écran est envahi en surimpression de moutons qui envahissent la maison.

Le mouton c'est l'or blanc, bien sûr. Le final atteint une dimension tragique inattendue : Alors que Sam a visiblement été tué dans la chambre, le père dit à son fils qu'il l'a abattu après l'avoir surpris avec sa belle-fille. Or on comprend très vite qu'il n'en est rien. Dolores a abattu Sam qui a forcé sa porte. Elle attend que son mari lui montre sa confiance, mais celui-ci ne sait que croire et se rapproche de son père. Dolores comprend alors que le beau-père possède réellement son fils et s'en va la tête haute, après avoir jeté le revolver qui a tué Sam dans la boue. The end.
J'ai bien aimé l'action et la tension qui va crescendo de ce film qui est en avance sur son temps et très moderne dans le fond ... 

Jetta Goudal est très belle et possède un très beau visage. C'est la première fois que je découvrais Kenneth Thomson qui s'en sort pas mal dans ce rôle d'homme influençable, et George Bancroft et terrible dans ce rôle d'homme un peu simple qui hésite entre le bien et le mal : une scène le montre avec lui-même et ses doubles, l'un bon et l'autre mauvais, tous deux cherchant à l'influencer. On retrouve Clyde Cook dans le rôle d'un homme de main qui passe beaucoup de temps à flanquer des claques à ses interlocuteurs pour tuer de gros insectes.


mardi 6 septembre 2011

Docks of New York (The) - Josef von Sternberg - 1928




George Bancroft ...
Bill Roberts
Betty Compson ...
Mae
Olga Baclanova ...
Andy's Wife - Lou (as Baclanova)- La femme d'Andy et non "his" Wife (de qui ?)
Clyde Cook ...
'Sugar' Steve
Mitchell Lewis ...
Andy, the Third Engineer
Gustav von Seyffertitz ...
Hymn Book Harry




76 minutes
Titre français : Les damnés de l'océan

Deux marins travaillant dans la cale à charbon d'un navire ont une nuit de permission à New York. Bill (Bancroft) et Steve (Cook) partent pour une nuit de plaisir. Bill découvre une femme, Mae (Compson), qui vient de se suicider et se noie dans le port. Il plonge à l'eau et la sauve, puis la ramène dans un bar où Lou (Baclanova) la femme d'Andy qui n'est autre que le 3e ingénieur peu sympathique du bateau (Lewis) la couche dans sa chambre et la réchauffe. Pendant ce temps, Bill lui ramène une boisson chaude et vole des vêtements pour elle. Ranimée elle accepte de passer une soirée avec lui et se retrouve bientôt très à l'aise avec cet homme immense et fort qui la rassure et la protège contre les consommateurs trop entreprenants. Bill ne tarde pas à la demander en mariage ...



Etonnant ce film aux images très posées et réfléchies (la descente de l'ancre, le brouillard, les oiseaux que l'on aperçoit par la fenêtre). Toute l'action se passe en une nuit, ou presque. Betty Compson est magnifique dans ce rôle de femme blessée qui reprend goût à la vie grâce à ce balourd de marin au coeur peut-être plus tendre qu'il ne veut montrer. Endurci, il a connu tant de ports et de femmes, qu'il ne pense tout d'abord qu'à s'amuser et il faut avouer que ses méthodes sont pour le moins curieuses !
George Bancroft est tout à fait crédible dans ce rôle de costaud bagarreur. Clyde Cook incarne l'ami fidèle qui ne comprend pas l'attachement de Bill pour Mae et qui va tout tenter pour le ramener sur le bateau. Olga Baclanova est la femme blessée, terriblement désabusée et rendue quelque peu cynique par un mariage avec un marin qu'elle n'a pas revu depuis trois ans et qui réapparait au cours de la même soirée.
Le preacher incarné par Gustav von Seyffertitz est excellent : alors qu'il est amené dans l'antre de ces buveurs fêtards, il reste concentré et apporte une dimension supplémentaire au rôle. Ses regards sont pénétrants et compréhensifs.
Un film à voir (il parait qu'il est dans la liste des 1001 films à voir avant de mourir de Steven Jay Schneider ...).






jeudi 28 juillet 2011

A Dangerous Woman - Rowland V. Lee - 1929



Olga Baclanova ...
Tania Gregory (as Baclanova)
Clive Brook ...
Frank Gregory
Neil Hamilton ...
Bobby Gregory
Clyde Cook ...
Tubbs
Leslie Fenton ...
Peter Allerton
Snitz Edwards ...
Chief Macheria

72 minutes
Son : mono (MovieTone)

En Afrique dans une colonie britannique. Frank Gregory (Brook) gouverne la province dont il est responsable pendant que sa femme Tania (Baclanova) s'ennuie ferme et s'amuse à séduire le peu d'hommes dans les parages, dont Peter Allerton (Fenton). Celui-ci se suicide lorsque Tania se lasse de lui. Frank connait le goût de sa femme pour les hommes et déguise le suicide en accident. Peu à peu il s'éloigne de sa femme, qu'il semble toutefois encore aimer. Les choses se corsent lorsque le petit frère de Frank, Bobby (Hamilton) arrive dans la petite communauté comme nouveau bras droit de Frank qui demande à sa femme de faire un effort pour se montrer irréprochable et pour faire croire que leur couple est idéal, car Bobby est encore très jeune et inexpérimenté. Tania ne peut résister à le séduire bien sûr ...



Qu'est-ce qui m'a pris de regarder ce film démodé et terriblement sexiste ? Je me le demande. Une vraie caricature du colonialisme. (De mon point de vue d'ailleurs, le titre est peut-être mal choisi, car dans le fond il me semble que les hommes sont bien plus dangereux dans cette histoire ;-)). En outre, j'ai de la peine à voir ce que les hommes trouvent à Olga Baclanova, surtout lorsque, excitée par les tam-tams qui lui font battre le cœur plus vite, elle se trémousse, je dirais, heu, langoureusement (?, et c'est bien pour être gentille ...) pour affoler le pauvre Neil Hamilton ? Le soir, elle chante des chansons russes à la manière de la Castafiore (ou du moins de la manière dont j'imagine que La Castafiore chante) en s'accompagnant au piano. Pour couronner le tout, j'ai eu de la peine à comprendre ce qu'elle disait avec son accent russe ...
Au second degré on peut certainement trouver ce film dont la morale est "si femme pas bonne = couic" amusant. Clive Brook se tient toujours parfaitement droit. Rien que de le voir, mon dos se redresse (ce qui est toujours positif et pour ma colonne et pour ma circulation, entre autres). La scène où il croit avoir tué sa femme est très bonne.
Toujours est-il que dans ce film il est bien seul, son frère ayant somme toute peu de scrupules à laisser tomber sa fiancée anglaise qui lui a promis sur un vieux disque qu'il passe sur un vieux gramophone de l'attendre toujours et toujours ou de tromper son frère. Neil Hamilton la joue un peu naïf (voire niais, genre beau garçon pas très dégourdi mais bon).  Clyde Cook est excellent dans le rôle de l'aide de camp qui a l'oeil sur tout et une solution à tous les problèmes.
Les indigènes, plus sages, ne s'embêtent pas avec des considérations ou des conventions d'ordre social et ont bien sûr une solution pour faire disparaitre les "maux" dont souffrent ces pauvres hommes : le mamba vert !

 Amusantes ces photos, lorsqu'on sait que les deux époux font tout pour s'éviter ...































































Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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